mardi, décembre 04, 2012
jeudi, novembre 29, 2012
samedi, novembre 17, 2012
Unapologetic Rihanna
2. “Diamonds”
3. “Numb” feat. Eminem
4. “Pour It Up”
5. “Loveeeeeee Song” feat. Future
6. “Jump”
7. “Right Now”
8. “What Now”
9. “Stay” feat. Mikky Ekko
10. “Nobodies Business” feat. Chris Brown
11. “Love Without Tragedy”/”Mother Mary”
12. “Get It Over With”
13. “No Love Allowed”
14. “Lost in Paradise”
http://www.sharebeast.com/51rqr8wegep8
15. “Half of Me” (Bonus)
http://www.sharebeast.com/ow2awl93j1cm
vendredi, novembre 09, 2012
Lotus Christina Aguilera leaked
L'album Lotus de Chritina a leaké cette semaine:
http://ul.to/6y97qakw
Un petit lien pour le telecharger!
jeudi, novembre 01, 2012
lundi, octobre 22, 2012
vendredi, octobre 19, 2012
07 Ghosts
Teito Klein est un adolescent qui se prépare à passer son examen d’entrée à l’armée avec son meilleur ami Mikage. Teito n’a conservé aucun souvenir de son enfance. Mais, lors de l’examen, la vue de l’examinateur Ayanami déclenche en lui une vague de souvenirs. Teito voit Ayanami tuer son père. Ivre de rage, il se lance sur le militaire, qui l’arrête bien facilement et le fait emprisonner. Avec l’aide de Mikage, Teito fuit les cachots. Il n’est maintenant plus question pour lui de rester à l’académie militaire. Il vole un vaisseau et s’enfuit, pour s’écraser devant trois prêtres. Ceux-ci le conduisent dans une église. Tout en s’y reposant, Teito cherche à découvrir la vérité sur son passé et sur les Seven Ghost, protecteurs de cet endroit.
MP3 Requiem de Raggs:
http://www.mediafire.com/?om230h6gcq1dfyc
Enjoy!!!
MP3 Requiem de Raggs:
http://www.mediafire.com/?om230h6gcq1dfyc
Enjoy!!!
samedi, octobre 13, 2012
episode 9 et 10 xfactor
samedi, octobre 06, 2012
x factor episodes
jeudi, septembre 27, 2012
samedi, septembre 22, 2012
vendredi, septembre 21, 2012
Hakuōki ~Shinsengumi Kitan
Yukimura Chizuru est la fille d'un docteur qui travaille à Edo, Yukimura Kōdō. Un jour, le père part d'Edo, sans sa fille, afin de travailler en tant que médecin volontaire à Kyoto. N'ayant plus de nouvelles depuis un mois, elle décide de se déguiser en garçon et d'aller à Kyoto. La-bas, pendant la nuit, elle se fait attaquer par des voleurs, ensuite tués par d'étranges guerriers aux cheveux blancs et aux yeux rouges portant les couleurs du Shinsenkumi, les Rasetsu (démons sanguinaires originaires du folklore indien). Ceux-ci, pris dans une transe berserk, attaquent Chizuru, mais elle est sauvée par trois samouraïs appartenant au Shinsengumi, une force de police spéciale composée de rônin et de samouraïs de faible rang social, mais tous jeunes idéalistes et guerriers talentueux ; ils sont chargés par le seigneur d'Aizu et l'Empereur de patrouiller dans les rues de la capitale pour protéger la population des troubles causés par les samouraïs du fief de Choshu et les bandits qui abondent dans les rues. Chizuru se fait enlever, bâillonner et attacher par Okita Sōji la séquestrant dans une chambre du Shisengumi, ils menacent de la tuer, croyant que Chizuru est un garçon. Elle donne vite son identité et il se trouve qu'ils recherchent la même personne. Ils décident donc de la protéger et de l'aider à retrouver son père. Elle se liera par la suite d'amitié avec eux bien que leur relation ait mal commencé.
Episode 1:
Episode 1:
lundi, septembre 17, 2012
vendredi, septembre 07, 2012
dimanche, septembre 02, 2012
vendredi, août 10, 2012
Fantasy Twist
Je montre la Cléôpatre qui est en mou sur le tournage de la pub Fantasy Twist. Le parfum sera en vente le 1e septembre.
dimanche, juillet 22, 2012
Khadja Nin: Sambolera
17 Ans, c'est le temps qu'il m'a fallu pour retrouver cette magnifique chanson. A l’époque, j'avais à peine une dizaine d'années et c'était un des tubes de l'été qui passait sur TF1.
Merci à l'homonyme de ma jumelle sans qui je n'aurais jamais trouvé!!! Je t'adore!
Trop de sang coule, Sambolera
Ils rendent la vie des hommes insupportable
Car il suffit de la volonté d'un seul homme
Et c'est la guerre, fils
Laisse-les dire, Sambolera
L'avenir t'appartient mon fils
Ils parlent et parleront
Mais, corazon, ne t'égare pas
Apprend la patience
Ouvre les yeux, sois malicieux
Oh ! Oh ! Oh !
Ye ! Ye ! Ye !
Et surtout, ne vis pas
Dans la crainte de cette folie
Guerre ! Au nom de quel Dieu ?
Guerre ! Au nom de quelle couleur ?
Guerre ! La couleur du sang
Il n'y a qu'une seule couleur de sang
Si Dieu le veut, Sambolera
Ils s'inquiéteront de toi
Et t'ouvriront une voie
Pour que tu puisses tenter ta vie
Devant Dieu, Sambolera
Que pourront-ils répondre ?
Ils diront qu'au nom d'un Dieu
Qu'au nom d'une couleur
Ils ont tué corazon (le coeur)
Le monde, Sambolera
Notre monde perd la tête
Les hommes de ce monde, Sambolera
Ne mentent qu'à eux-mêmes
Ils ne sont pas Dieu
Ils ne sont qu'humains
Les mauvais hommes
N'ont aucune compassion
Ils parlent, ne parlent que d'eux
Le monde leur appartient
voila une traduction que j'ai trouvé me^me si je ne suis pas sûre de sa signification
Trop de sang coule, Sambolera
Ils rendent la vie des hommes insupportable
Car il suffit de la volonté d'un seul homme
Et c'est la guerre, fils
Laisse-les dire, Sambolera
L'avenir t'appartient mon fils
Ils parlent et parleront
Mais, corazon, ne t'égare pas
Apprend la patience
Ouvre les yeux, sois malicieux
Oh ! Oh ! Oh !
Ye ! Ye ! Ye !
Et surtout, ne vis pas
Dans la crainte de cette folie
Guerre ! Au nom de quel Dieu ?
Guerre ! Au nom de quelle couleur ?
Guerre ! La couleur du sang
Il n'y a qu'une seule couleur de sang
Si Dieu le veut, Sambolera
Ils s'inquiéteront de toi
Et t'ouvriront une voie
Pour que tu puisses tenter ta vie
Devant Dieu, Sambolera
Que pourront-ils répondre ?
Ils diront qu'au nom d'un Dieu
Qu'au nom d'une couleur
Ils ont tué corazon (le coeur)
Le monde, Sambolera
Notre monde perd la tête
Les hommes de ce monde, Sambolera
Ne mentent qu'à eux-mêmes
Ils ne sont pas Dieu
Ils ne sont qu'humains
Les mauvais hommes
N'ont aucune compassion
Ils parlent, ne parlent que d'eux
Le monde leur appartient
voila une traduction que j'ai trouvé me^me si je ne suis pas sûre de sa signification
jeudi, juillet 05, 2012
dimanche, juin 10, 2012
mardi, mai 15, 2012
mardi, mai 01, 2012
mercredi, avril 11, 2012
mardi, avril 10, 2012
vendredi, avril 06, 2012
mercredi, avril 04, 2012
mercredi, mars 21, 2012
lundi, mars 19, 2012
mercredi, mars 07, 2012
mercredi, février 29, 2012
mardi, février 14, 2012
dimanche, février 12, 2012
Mort de Withney Houston
Whitney Houston, morte samedi à l'âge de 48 ans, a déjà atteint le statut de diva tragique dans les panégyriques qui lui sont consacrés. Nous devrions pourtant nous en souvenir comme d’une athlète. A son apogée, dans les années 1980 et au début des années 1990, Whitney Houston était la force physique la plus formidable jamais produite par la musique populaire américaine.
C’était une chanteuse scandaleusement talentueuse. Sa voix était lumineuse, audacieuse, vibrante, pleine de brillance pop et de saveurs de gospel. Elle était aussi d’une grande agilité: Houston sautait d’une octave à l’autre, à toute vitesse, avec la grâce d’une coureuse de haies olympique. Et elle chantait fort, très fort: quand une chanson de Whitney passait sur votre autoradio, vous auriez cru que quelqu’un de la station de radio avait bloqué le volume au maximum.
La reine de l'adult contemporary
Elle savait chanter des chansons pop: How Will I Know et I Wanna Dance With Somebody appartiennent à la compilation idéale des meilleurs tubes bubblegum des années 1980. Mais là où elle était la meilleure, là où, sans erreur possible, elle était complètement Whitney, c’était dans les ballades faciles à écouter qu’elle emmenait jusqu’à des hauteurs qui n’avaient rien, elles, de facile —des sommets de volume et d’intensité, et plus loin encore.
Il y avait toujours un nouveau crescendo, prêt à vous exploser les oreilles, tapi quelque part, au détour du deuxième refrain. Houston était la reine de l’adult contemporary —mais son côté adulte ne la rendait pas si contemporaine que ça. Elle était désuète, un chouïa ringarde; votre grand-mère l’adorait. Elle chantait des émotions adultes et n’avait aucun penchant pour l’attitude ou les rythmes du hip hop.
Elle a passé le début des années 1990 à rivaliser en permanence avec Mariah Carey pour la première place dans les hit-parades, mais la maîtrise du hip hop de Carey lui assura la victoire au final, alors même que Whitney la surpassait de loin. Mais elle rendait l’air du temps d’autres manières. Son message était celui de l’estime de soi: elle faisait un opéra d’Oprah [présentatrice américaine championne de la défense des minorités, NDT].
Une diva qui ne chantait pas juste pour elle
Un historien qui voudrait comprendre la culture américaine de l’émotion de la fin du XXe siècle peut commencer et finir sa recherche par Whitney Houston: «Learning to love yourself / Is the greatest love of all» [«Apprendre à s’aimer soi-même/C’est le plus grand amour de tous»]. L’estime de soi était pour elle indissociable des égards que l’on se doit à soi-même —c’était une diva, après tout. Mais elle ne chantait pas juste pour elle.
On lui reprochait de ne pas être assez sûre d’elle, d’être trop «blanche», mais une église noire résonnait dans chacune des notes de ses albums. Si les femmes afro-américaines étaient ses fans les plus loyales, il y avait une bonne raison: lorsqu’elle déchaînait ses redoutables mélismes, chantait la lutte et la résilience, exigeait, face à l’indifférence, qu’on lui donne de l’amour et qu’on la traite avec justice, il fallait être idiot pour ne pas voir le côté politique.
On peut l’entendre dans le houleux refrain final de l’une de ses plus belles ballades, I Have Nothing. «Don’t walk away from me! [«Ne me quitte pas»], ordonne-t-elle dans un grondement gospel sauvage. C’est un son qui lui survivra, à elle et à nous tous.
Jody Rosen